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Maison NANA1807 - Jeu d’échecs autour d’un Thé à la Menthe

Thé à la Menthe & Échecs

Méditation autour du Thé à la Menthe

Jeu d’échecs autour d’un Thé à la Menthe

Pour certains, le jeu d’échecs est un passe-temps épanouissant… Autour du Thé à la Menthe, nous apprécions ce jeu qui reflète les efforts admirables de l'esprit humain.

Pour nous, comme les Arabes qui l'ont popularisé dans le monde entier, le jeu d’échecs est une joute artistique et intellectuelle, que nous aimons composer en sirotant un Thé à la Menthe.

L’histoire de la composition artistique échiquéenne remonte aux origines du jeu, au Shatranj, l’ancêtre des échecs. L’Asie centrale est la terre où l’art de jouer aux échecs fut cultivé.

En effet, les Arabo-Musulmans furent les premiers à étudier ce jeu de manière scientifique. Les « chercheurs d’échecs" conviennent tous que son histoire ne peut être reconstruite qu'à partir des sources arabo-musulmanes.

Les Maitres de l’échiquier 

Le premier ouvrage sur le jeu remonte au IXe siècle, lorsque Al-Ádlí ar-Rúmí a écrit « Kitab Ash-Shatranj » (Le livre des échecs). Ce légendaire Maitre des échecs avait compilé l'histoire des échecs, y compris des informations sur le Chaturanga - la version indienne et probablement l’origine du jeu d’échecs. Il avait également enregistré des ouvertures et des fins de partie, et des Mansubat (problèmes d’échecs).

Les Mansubat marquent la naissance de l’art de la composition. Il s’agit véritablement des ancêtres des problèmes et études modernes. Ils avaient pour but une combinaison de mat et étaient complétés par un titre poétique ou une légende.

Bien avant les grands Maitres Russes, les Arabo-Musulmans dominaient l’échiquier mondial et leurs joueurs étaient les meilleurs au monde, pendant très longtemps. Parmi eux,  les Maîtres confirmés du Shatranj – les Aliyat – se nomment Al-Adli, As-Suli, Na’am, Zabrab… 

A cette période, un bon nombre de califes sont devenus des inconditionnels du jeu d’échecs, et ils étaient souvent les mécènes de ces grands Maitres.

Le mat de Dilaram et le dernier Thé à la Menthe

Entre deux verres de Thé à la Menthe, nous vous dévoilerons la légende qui préside au Mansubat le plus connu - « Le mat de Dilaram » : 

« Un prince arabe adorait jouer aux échecs, et parier de l’argent…  Un jour, il perdit tous ses biens et finit par miser sa propre épouse - la belle Dilaram - sur sa dernière partie jouée. La Princesse Dilaram observait attentivement la partie. Quand elle vit que la situation devenait critique pour son infortuné époux… et particulièrement pour son sort…  Elle s’écria : « Sacrifie deux Tours et sauve- moi ! ». Le prince finit par trouver la combinaison de mat… afin de savourer son Thé à la Menthe en compagnie de sa fidèle et téméraire épouse »

En conclusion de cette méditation autour du Thé à la Menthe, vous pourrez retenir que l’expression “échec et mat” trouve ses origines au Moyen-Orient… Le terme “Al Sheikh mat” se traduit par “le roi est mort” en arabe. Le terme “Shah mat” signifie littéralement « le roi est sans défense » en persan.

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